Un fichier idéal pour le web et les écrans, c’est…

Un format versatile

De nombreux formats sont utilisés pour les visuels destinés au web. Parmi aux, le .jpg et le .png restent rois : polyvalents, universels… Leur efficacité leur laisse une place de choix.
Le .webp, moins polyvalent, fait son chemin grâce à sa légèreté et sa popularité sur les sites récents.
Mentionnons également le .gif : daté, il est néanmoins toujours utile pour les images animées.
Enfin, des formats vectoriels comme le .svg sont plus complexes à manipuler, mais peuvent se révéler très utiles pour la création de sites rapides et modernes.

Un poids plume

Le poids des images est une contrainte à prendre en compte, car des fichiers trop lourds ralentissent le chargement des pages web. À la louche, des petits visuels d’habillage doivent rester sous 500Ko, tandis que les bannières et autres grands visuels essaieront de ne pas dépasser 1Mo.

Une résolution appropriée

Les écrans ne nécessitent pas une résolution (c’est-à-dire une densité de points) aussi importante que les supports imprimés. Traditionnellement, on s’accorde sur une résolution de 72 dpi (ou ppp)

Le bon mode colorimétrique

Le mode couleur pour les écrans est le RVB (rouge, vert, bleu), d’après les trois couleurs qui servent à afficher la large gamme de couleurs disponible.
En savoir plus
Pour le web, les couleurs sont souvent désignées par un code HEX : # + 6 caractères. Cet identifiant permet de les intégrer dans les sites web et applications avec précision et simplicité.

Un approche responsive

La plus grande difficulté avec les visuels web, c’est la nécessité de les afficher sur différentes dimensions d’écrans — parfois en format paysage, parfois en portrait, parfois en grand, parfois en petit. On parle d’une approche responsive qui permet de s’adapter aux supports.
Ce facteur joue au niveau des dimensions du visuel, qu’il faut parfois décliner sous plusieurs formes.